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Astajla ! Je pète un câble, argh ! -31/12/2002- par mursoft
Tu t'es déclaré timide.
Avec des yeux pareils, ces fossettes, cette tranquillité silencieuse, je me suis fait piéger.
Tu aimes les vieux, les cheveux gris : te voilà servi.
Tu pourrais être mon fils (merci, j'ai l'article), tu es plus jeune que mon ami, je suis plus vieux que le tien. Je chavire en pensant à ta peau, à tes lèvres.
Je dérape - je n'arrive jamais à me rappeler ton prénom; qu'importe - je te prends à pleine bouche.
Je ne te dirai "je t'aime" que quand ce sera fini. Je te désire, tu me plais. Sans illusion : la tachycardie est garantie à la seule idée que tu appelles, que tu viens, que tu te déshabilles, que je te couvre, que je...
Figé de désir, d'attente - et la rigolade quand tu débarques, goulu, avec tes pupilles dorées au coin de l'oeil et ces trois ridules.
D'accord, c'est juste du désir (partagé), ça s'arrête là. Donc j'ai vraiment chaviré.
Is there a doctor in the haaaaalll ?
(ou un maître-nageur pour vieillard en noyade).
(Pour une 1ère rencontre par Monclubgay, elle est... raide !)(Boudi, qué bonheur !)
(Si tu lis ça, je prends la honte).
- Gros poutouns !
- Même tard - mais quand ?
- A cet âge !
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