par landroval
Le tango lent de ton sang dans mes veines
J'entends battre ta vie plus que la mienne
Quand la nuit rapproche ceux qui sont loin
Le matin prend ma place et je m'éteins
Nulle envie, nulle pensée pour personne
L'absence a tout pris, que l'on me pardonne
Quand on n'est même plus la moitié d'un
Comme un billet déchiré ne vaut rien
Les saisons ne sont plus que de passage
Les couleurs ont déserté mes images
Je reverrai tout quand tu seras là
Je repeindrai tout quand tu reviendras
Je reverrai tout quand tu seras là
Je repeindrai tout quand tu reviendras
Texte de jean jacques goldman
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