par Aqw
Ci-joint un texte d'un mail reçu dans des mairies.
La lutte contre l'homophobie a encore du chemin à faire...
"COLLECTIF oui à la famille, non à l'homofolie
(Courrier : Association PMN, 24 rue Geoffroy Saint-Hilaire, 75005 Paris)
Paris, le 30 octobre 2004
Monsieur le Maire,
Vous avez été élu par vos concitoyens parce que la majeure partie des familles de votre commune vous ont fait confiance pour les administrer et défendre leurs intérêts.
Vous représentez l'Etat auprès de vos concitoyens et ils comptent sur vous pour les représenter efficacement et au mieux de leurs attentes, auprès de l'Etat.
Vous êtes l'intermédiaire entre vos administrés et le gouvernement.
C'est dans le cadre de ce contrat moral que nous nous adressons à vous, car nous avons conscience d'être, nous aussi, la voix de l'immense majorité de ces familles, et aussi des simples citoyens sains de corps et d'esprit et remplis de bon sens, une voix trop souvent étouffée.
Vous le savez, nos parlementaires ont été saisis d'un projet de loi que le gouvernement a déposé sous la pression des lobbies homosexuels. Cette loi inique porte des dispositions qui vont ouvrir larges les portes à un matraquage mental des populations, singulièrement des jeunes enfants et des adolescents, en vue d'assurer la promotion légale et sociale de l'homosexualité. Avec, pour effet inévitable, une atteinte grave à la pérennisation de la famille, base de notre société.
Une vague de fond se lève, faite d'une multitude de citoyens indignés car trop, c'est trop.
Un collectif d'associations, dénommé oui à la famille, non à l'homofolie, s'est constitué pour faire barrage à ce processus destructeur. Il vient de lancer une pétition nationale et a ouvert un site internet (www.non-a-homofolie.com). Il a adressé également une première lettre aux parlementaires.
Nous vous joignons un exemplaire de cette lettre (celle aux députés) et la pétition recto-verso. Nous vous demandons de bien vouloir accorder toute votre attention à ces documents.
Nous souhaitons que, s'ils rencontrent votre agrément, vous acceptiez de les diffuser le plus largement possible au sein de votre conseil municipal, dans le tissu associatif de votre commune et parmi vos administrés, par toutes voies à votre convenance.
Mais, par-dessus tout, nous souhaitons que vous agissiez auprès des parlementaires (député et sénateur) de votre circonscription pour qu'ils mesurent bien la portée de leur choix au moment du vote de ce projet de loi. Nous sommes persuadés que la voix des maires de France peut contribuer de façon décisive à faire reculer le spectre de l'agression massive qui vise insidieusement la famille et, à travers elle, l'enfant.
Veuillez agréer, Monsieur le Maire, l'expression de notre parfaite considération
Pour le collectif, son coordonnateur
Alain Toulza"
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