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États-Unis: La politique «don't ask, don't tell» conduit les militaires homos à ne pas se réengager | 26/03/2007 On sait que la politique du «don't ask, don't tell» (DADT) entraîne chaque année, depuis son instauration en 1993, le renvoi d'environ 1.000 gays et lesbiennes de l'armée. Mais pour la première fois, les chercheurs du Williams Institute on Sexual Orientation Law and Public Policy de la faculté de droit de UCLA, en Californie, ont examiné les conséquences du DADT sur le réengagement des gays et des lesbiennes dans l'armée. N'oublions pas que, de façon très hypocrite, le DADT n'interdit pas aux gays et aux lesbiennes d'être militaires, mais «seulement» de révéler leur homosexualité. En résumé, faire son coming-out conduit à un renvoi. Si certains homos ont supporté le placard pendant leur engagement, ils sont près de 4.000 chaque année à décider de ne pas renouveler leur contrat. Dans cette période de pénurie de militaires, ces chiffres ne vont pas passer inaperçus. |
Source : Par Alexis Delano pour Têtu - Copyright tetucom 20
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