Jeudi 15 février, le grand-conseil genevois, c'est-à-dire le parlement cantonal, a voté l'entrée en vigueur d'un PaCS à la genevoise, qui sera signé soit devant notaire soit à la chancellerie d'Etat.
Les signataires seront considéré par l'administration comme une «entité». En revanche, la question du permis de séjour n'a pas été réglée car elle dépend de l'autorité fédérale et non des autorités cantonales. Mais c'est un début.