Dans un communiqué publié vendredi 24 septembre, GayLib, «mouvement associé à l’UMP chargé d’évoquer les problématiques sociales et politiques liées à l’homosexualité», se félicite du jugement du tribunal de grande instance de Paris du 2 juillet, qui a permis à Carla et à Marie-Laure de partager l’autorité parentale de leurs enfants. Pour GayLib, «cette décision exemplaire (…) reconnaît explicitement que l’intérêt de l’enfant est préservé au sein d’une famille homoparentale». Le mouvement regrette néanmoins l’application «très contrastée» selon le lieu de résidence des demandeurs de la loi du 4 mars 2002, qui permet le partage de l’autorité parentale et réclame un «débat national» « afin que soient débattues ces questions qui concernent des centaines de milliers d’enfants».