Tout d'abord merci pour la réponse si rapide à ma question précédente. Je voudrais cependant la poursuivre plus loin.
Vous avez dit que d'en parler de ma seule initiative compliquerait les choses. En effet, lorsqu'une fois j'ai longuement parlé de cela avec elle, cela a fini par ses larmes, et elle m'a dit que je l'"agressait". Ca m'a profondément remué, et je me suis senti très coupable. Je n'avais fait qu'empirer les choses.
Si je l'avais fait, c'est parce qu'elle refusait de voir mes amis et copains, de peur d'afronter leurs regards. Ca me fait de la peine de la voir s'enfermer sur elle-même ainsi, car en fait d'efforts sur elle-même, elle n'arrive même pas à imaginer qu'il y ait une solution à ce qu'elle appelle une "fatalité. Je suis désemparé. On se retrouve à passer des soirées cloîtrés à la maison. Et elle se refuse à passer des entretens d'embauche par manque de confiance en elle.
S'il y a quelquechose que je puisse faire, merci de me le dire.
Sincèrement,
Timy
La réponse : |
La seule chose que vous puissiez faire est effectivement de la laisser décider seule du moment qu'elle choisira pour entamer le dialogue, pour ne pas lui donner l'impression d'être traumatisé par ce qui l'affecte. Laissez-la venir sans rien précipiter. L'autre solution est qu'elle consulte pour un traitement chirurgical radical de son problème.
Alex.
Question précédente | Question suivante |
Webmaster / Éditeur : Monclubgay.com © 1999 ~ 2024 | Réalisation : Nichetoo.net | ||
Conditions d'utilisation |
|