par titou
Salut
Ayant été très interressé par l' histoire que je viens de lire je voudrais dédicacé ce texte à l' être qui réchauffait mon coeur, dé solé pour les quelques douloureux passages qui pourront te choquer !!!
Nous sommes le vendredi 28 février 2003, voici 15 jours que j' ai déserté son coeur. Pour la première fois j' ai su ce qu' était d' avoir le coeur brisé, j' étais tellement mal, que je n' arrivais plus à réfléchir ni à raisonner convenablement et 3 jours après je descendais dans le Midi à 927 km de chez moi soit 7 heures 50 mn. Je pense que vous avez dans quel état d' esprit je parti, un esprit lugubre complétement vide !!!!
Je pris le train comme il était convenus de le prendre mais lorsque je m' installa dans le TGV, je ressenti une sensation de tristesse intense, car, c' étais le train qui allait me déposer dans la ville de l' homme à qui je faisais tant tant de bien. Dans ce train j' essayais de me retenir de pleurer, car, ça serait franchement inoportun de montrer sa tristesse dans un lieux publique, chacuns à ses problèmes et doit savoir soi-même, mais je n' ai pas résister et donc, j' ai pleuré comme un bébé sans me soucier de l' harmonieuse atmophère qui y règnait. Je me cacher dans les rideaux pour atténuer les bruits. Quelques temps la passagère de devant me demandant ce que j' avais, donc, j' essaya de tous lui raconter, bien sûr, elle me dit les mêmes banalités que mon entourage; en que l' amour est comme la météo, même si je n' ai rien appris le simple fait de lui parler m' a fais énormément de bien. Arrivé à destination, je descendis tout excité et fit appel à uu taxi pour qu'il m' accompagne jusqu' à l' hôtel qui se trouvait à 1km500 de la gare environ.
Une fois à l' hôtel, je retira ma longue veste noire ( que mon ex adorait ) et je mis mes affaires dans leurs emplacements respectables. Pris par la fatigue de ce long trajet je décida de prendre une douche pour évacuer toutes cette transpiration que j' avais acquise par le stresse . Mais comme ensorcellé par les pensées que j' avais de Romain, je me plaça devant le miroir et qui prenait une grande partie de la face latérale du fond de la pièce et je commençais mon jeux sexuel. Je me carressais tous le corp devant la glace et tout doucement je relevais mon pull et avec plus de douceur je relevais mon tee-shirt. Une fois le torse nu, j' humididifiais mes doigts à l' aide de ma salive et me me carressa celui-ci en y ajoutant la pensé de mon chéri qui glisserai tendrement ses lèvres dessus tout en laissant sa langue comtemplait mon torse qui remuait intensemment à cause de mon coeur qui battait la chamade. Puis, je descendis desserrer ma ceinture, je déboutonna mon pantalon, et le retira, je laissa alors un corp à demi nu devant moi, je me carressais le boxer et sentis ce sexe qui avait tyrès envie d' être câliné par un autre. Je me carressais devant le miroir et j' imaginais mon bébé d' amour me bisoutant le boxer, puis, me le retirant avec sa bouche laissant ainsi un sexe libre prêt à être câjolé à souhait. S' il aurait été là c' est ce que je lui aurait fait, ensuite je l' aurai fait signe de s' allonger sur le lit et je me serai allonger sur lui, l' embrassant fougueusement tout en continuant de l' embrasser je serai descendu jusqu' à son sexe et là je l' aurais pompé comme aussi sensuellement qu' agréablement. Puis, par la suite je l' aurai invité à me faire part des sensations et je lui aurais fait comprendre que le 69 m' était en idée. Ensuite, je lui aurais pris le cul, promenant un doigt le long de sa raie, j' entrepris d' aller plus loin que la raie pour laisser ainsi deux doigts accomplir le même principes. délicatement je mettais deux doigts plus profondément. Son visage crispé de douleur me faisait signe d' adoucir cette douleur par une masturbation, donc, je pris son gros sexe et le masturba tout en continuant mes va-et-vient avec mes doigts. Puis, il me fit signe de remplaçer mes doigts par mon sexe, sans plus attendre je lui obéit et le sodomisa. Pendant que je le branlais, je sentis une crispation, donc, j' arrêta un peu, je me retira et me plaça devant lui de sorte à récupérer tous ce bon jus. Je recoomençais à le masturber jusqu' à éjaculation et là ayant récupérer tous son sperme sur le ventre il me l' étala sur toute la surface pour après me lèchait le torse et appréciait ce jus. Voilà en gros ce que j' aurai fais avec mon bébé d' amour, s' il avait été présent à l' hôtel.
Bon, 2 jours après mon arrivé je vis cet être qui m' a tant fait jouir de plaisir,en parla de choses et d' autres et au moment du départ je ne pu m' empêcher de me jeter dans ses bras, il me garda un très court instant, car, après quelques secondes, il me repoussa. J' étais déjà un peu triste qu'il me fasse la bise, alors qu'un mois auparavant on s' embrassait mais là j' étais effondré. A tel point que, je resta agenouiller tout triste, alors que je venais de voir cet amour qui m' avait fait fantasmer.
A mon retour à l' hôtel, je ne pu m' empêcher de lui passer un coup de fil. On continua notre conversation antèrieure, mais nos aurevoirs se furent catastrophiques, étant encore blessé par son refus de me prendre dans ses bras, je lui raccrochais presque au nez.
Ne sachant plus où que j' en étais, je me mis à écrire, puis ne trouvant plus la force je fis un surdosage de médicaments. Là, je me rendis compte que la connerie que j' avais faite était vraiment irresponsable et surtout très égoïste, car, même si j' ai fait le coups de l' amnésie partielle envers les médecins et que j' ai fait le neuneu envers mon entourages ce séjour à l' hôpital n' étais pas annodin.
Je crois que le pire de tous c' est lorsque je suis rentré crever et découvert son mail d' adieu, je m' apprêtais à faire une bonne sieste mais là je n' avais plus envie, je pleurais de tous mon souffle regrettant d' avoir fais ce que j' avais fais, d' être aussi égoïste, mais je découvrais un premier amour qui a su me donnais beaucoup d' amour que je n' avais pas envie de le perdre et ainsi de le garder par tous les moyens.
Maintenant, ça va faire 10 jours que l' on ne se parle plus du tout à cause de mon comportement et je m' en veux tellement que je n' ose même plus approcher personne par peur de lui faire du mal moralement, alors que pourtant j' ai un fond extra gentil mais voilà j' ai perdu ce petit être pourtant si grand et je m' en veux !!!!!!!!!!!!
Je voudrais tant que l' on se reparle simplement, bon, bien sûr, si tu as lu ce texte tu comprendras que j' avais un désir etrême d' apliquer le fantasme précité avec toi, mais bon, nous avons été beaucoup trop vite dans notre relations et te voilà bloqué par cette rapidité relationnellement intime. Ne crois surtout pas ça, je t' ai bien compris, il faut te laisser du temps pour oublier tout ça et revenir à la case départ, c' est compréhensible, mais très dur !!!!!
J' ai hâte de pouvoir te reparler !!!!!!
Le problème c' est que je ne sais plus comment faire pour t' aborder maintenant, j' aurai tellement peur de te blesser.
Serais-t-il possible d' avoir quelques coups de pouces ou ne serait-ce qu' une petite impression, je me sens un peu seul là !!!!!
Merci de m' avoir lu !!!!!!!!!!!!!
gros bisou !!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Merci encore !!!!!!!!!!!!
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