par Didiez
Où les temps peu propices
J'avais choisit des mots
De fleurs et d'oasis
En souffles de siroccos
Qui brisent les bâtisses
Les murs des châteaux
Je voulais qu'ils s'immiscent
En sourires amicaux
Infiltrent ta matrice
Noyautent ton cerveau
Mais ces signaux vocaux
Sont comme des iris
Dans un bocal sans eau
Et crient au vrai supplice
Je n'ai pas eu d'écho
De ces rires complices
Quand j'ai crié mes mots
D'amour qui se tissent
Peut être était ce trop tôt
Où les temps peu propices...
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