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Dis-moi mon ange -14/03/2001- par jean-Marie
Bien que ma journée soit longue et fatigante je pense à toi, tu es un rayon de soleil dans cette journée grisâtre. Tu vas me trouver un petit peu trop entreprenant mais j’ai envie de toi. Il n’y a pas un seul instant que je ne pense à toi à ton corps magnifique et à ton visage d’ange. L’idée même de pouvoir te voir nu me donne des réactions physiques très électrisantes. Ce désir n’est pas une chose très facile à contenir lorsque j’imagine ton corps étendu sur un lit avec l’idée de partager des heures sans interruption des caresses et de baisés passionnés, de tendres échanges aux attirants mouvements de nos corps pour imputer la puissante virilité de nos sexes aux brasiers ardant de nos envies et fantasmes. Nulles récessions à ces désirs contenus, relatives brimades aux interdis moraux, tout justifie plaisirs et échanges lorsque l'ont voit devant soi un merveilleux ange. La plénitude faisant calme après tant et tant d’échange et de passionnantes folies. L’irréductible jouissance appelle malgré ces nombreuses prouesses à reprendre souffle pour partager encore des instants de folies.
J’imagine ton corps m’apportant la force de tes rayonnants baisers lorsque mon corps en toi serré, partage l’énergie de notre amour. La vérité des songes aux complicités des murs avec tour à tour échange de nos passionnantes positions.
Je crois en toi homme plein de sagesse, à la force d’esprits et du corps si souvent trop contenue, mais qui promet tant et tant de plaisirs lorsque je te regarde enfin. Tu es sans conteste plus que de simples sentiments, la réalité d’une vie qui n’a jamais connu l’ivresse et l’amour car simplement il n’y a pas deux anges comme toi. Je susurre l’agonie de l’attente, J’invoque ton nom bien souvent sans réponse. Car l’écho de ma voie ne peut passer au-delà de cette montagne qui nous éloigne souvent l’un et l’autre, si simplement tu voulais bien m’accorder ta complicité et ta confidentialité, je t’implore oh ! mon amour de rester prêt de moi, car toi seul est la voie de ma vie et l’amour est la solution à nous deux. L’ivresse n’a pas de fin lorsque l’on reste à jeun et que l’on résiste à toutes les attirantes formes extérieures. Car l’amour ne peut changer le cap, lorsque l’objet de cette relation est aux partages de tous mots et situations de la douleur à la passion.
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